Ayant récemment chassé mon 20ème grand gibier, je me suis « amusé » à revisiter mes journaux de chasse remontant à 2011 pour voir si je pouvais tirer quelque chose des informations accumulées. Donc voici une décennie de chasse à l’approche en graphiques ! (Désolé, ils sont en anglais mais je traduirais)
Alors premièrement, je suis un chasseur de gibiers facilement transportables et qui tiennent au congélateur. Et aussi, les daims mâles sont une espèce imaginaire comme les licornes.
Species by pinemarten, on Flickr(CWD = hydropote, roe = chevreuil, fallow =daim, wild boar = sanglier)
Deuxièmement, a peu près 40% de mes sorties sont couronnées de succès, mais le succès est réparti de façon très inégale dans le temps (Blanks = bredouilles). Périodiquement, Artémis se fache avec moi, allez savoir pourquoi. La pandémie et deux bébés ont aussi eu leur impact.
Outings by pinemarten, on FlickrTroisièmement, je tire à peu près correctement et je m’améliore avec le temps. En bleu clair, les impacts dans la zone cœur/poumons, la colonne vertébrale en orange, le foie en gris, la panse en jaune et les ratés tous simples en bleu foncé. C’est important parce que j’ai besoin d’avoir confiance que je peux minimiser la souffrance du gibier.
Impact by pinemarten, on FlickrEnfin quatrièmement, à part les ratés et la balle de panse sur l’unique sanglier, qui a donné lieu à une recherche avec notre ami @Papaschultz, tous ces gibiers sont morts sur place, la plupart sur place. (Flops = tombés sans faire un pas, run and keel over = tombés après une petite course).
Outcome by pinemarten, on FlickrConclusion principale : les chiffres ne sont pas aptes à raconter la chasse…
