Un lièvre peut en cacher un autre!
Posté : lun. 29 janv. 2018 11:27
Bonjour tout le monde.
Ce weekend était celui de ma sortie annuelle au petit gibier avec mes trois amis R, A et G, sur la petite chasse de C dans les Midlands, à l’ombre d’une centrale thermique. C’est depuis quelques années ma seule chasse au petit gibier, et en plus le seul jour de la saison ou mes amis chassent. Autant dire qu’au-delà de la chasse, c’est aussi un évènement important dans le calendrier pour renouer des liens et se créer de beaux souvenirs communs.
Le programme prévu était le suivant : vendredi soir, après avoir posé nos affaires au pub ou nous dormions, C. est venu me chercher pour aller tenter de tirer quelques lièvres qui sont cette saison en surpopulation. Les trois autres sont restés sur place pour tester le menu spécial « Burn’s Night » et les whiskys assortis. Il faut savoir que je n’avais jamais tiré de lièvre, et comme j’adore ça, j’étais très content d’aider C. à boucler son plan de chasse ! Ce n’était que le lendemain matin que nous partirions tous pour une série de mini-traques accompagnes de trois chiens vaguement dresses, puis une passée aux canards le soir.
Nous partons donc sur le coup de 21h dans le 4x4 de C. et faisons méthodiquement le tour du territoire phares éteints, mais en scrutant avec une lunette qui détecte la chaleur (marque Pulsar) et révèle donc la faune dans le noir. Un instrument remarquable, même si on voyait principalement des moutons ! Mais comme ça j’ai pu voir un muntjac au bord d’un bois, les canards poses dans l’étang ou nous allions chasser le lendemain, même des souris, et enfin tout de même un lièvre ! Nous nous en approchons, tournons le véhicule de 90 degrés, j’épaule la CZ en .22LR qui repose sur le bord de la fenêtre, et C. allume un projecteur qui fige momentanément le lièvre. Clac ! Raté ! Il démarre, mais s’arrête après 10m. Clac ! Et cette fois-ci, la balle porte en pleine tête. Mon premier lièvre !
IMAG3557 by pinemarten, on Flickr
Il s’en suit trois tirs rates ce qui est quand même nul de ma part, et alors que nous changeons de secteur, le véhicule dérape sur une pente, glisse de travers, et nous passerons le reste de la soirée à creuser la boue, a essayer de forcer des branchages et des planches déposés par la crue du fleuve sous les pneus. Mais en fin de compte, Mme C. a dû venir nous chercher à 1h du matin… On a laissé le lièvre dans le véhicule pour la nuit, il ne faisait qu’un petit degré, ça allait pour la venaison.
IMAG3558 by pinemarten, on Flickr
Ce weekend était celui de ma sortie annuelle au petit gibier avec mes trois amis R, A et G, sur la petite chasse de C dans les Midlands, à l’ombre d’une centrale thermique. C’est depuis quelques années ma seule chasse au petit gibier, et en plus le seul jour de la saison ou mes amis chassent. Autant dire qu’au-delà de la chasse, c’est aussi un évènement important dans le calendrier pour renouer des liens et se créer de beaux souvenirs communs.
Le programme prévu était le suivant : vendredi soir, après avoir posé nos affaires au pub ou nous dormions, C. est venu me chercher pour aller tenter de tirer quelques lièvres qui sont cette saison en surpopulation. Les trois autres sont restés sur place pour tester le menu spécial « Burn’s Night » et les whiskys assortis. Il faut savoir que je n’avais jamais tiré de lièvre, et comme j’adore ça, j’étais très content d’aider C. à boucler son plan de chasse ! Ce n’était que le lendemain matin que nous partirions tous pour une série de mini-traques accompagnes de trois chiens vaguement dresses, puis une passée aux canards le soir.
Nous partons donc sur le coup de 21h dans le 4x4 de C. et faisons méthodiquement le tour du territoire phares éteints, mais en scrutant avec une lunette qui détecte la chaleur (marque Pulsar) et révèle donc la faune dans le noir. Un instrument remarquable, même si on voyait principalement des moutons ! Mais comme ça j’ai pu voir un muntjac au bord d’un bois, les canards poses dans l’étang ou nous allions chasser le lendemain, même des souris, et enfin tout de même un lièvre ! Nous nous en approchons, tournons le véhicule de 90 degrés, j’épaule la CZ en .22LR qui repose sur le bord de la fenêtre, et C. allume un projecteur qui fige momentanément le lièvre. Clac ! Raté ! Il démarre, mais s’arrête après 10m. Clac ! Et cette fois-ci, la balle porte en pleine tête. Mon premier lièvre !
IMAG3557 by pinemarten, on Flickr
Il s’en suit trois tirs rates ce qui est quand même nul de ma part, et alors que nous changeons de secteur, le véhicule dérape sur une pente, glisse de travers, et nous passerons le reste de la soirée à creuser la boue, a essayer de forcer des branchages et des planches déposés par la crue du fleuve sous les pneus. Mais en fin de compte, Mme C. a dû venir nous chercher à 1h du matin… On a laissé le lièvre dans le véhicule pour la nuit, il ne faisait qu’un petit degré, ça allait pour la venaison.
IMAG3558 by pinemarten, on Flickr