Et bien voilà ce que je leurs demande, de signaler les faits sans prendre parti ! … D’ailleurs dans cette histoire il n’y a rien, si ce n’est que le bruit des fusils, lorsqu’il y a le bruit des sirènes les enseignants ne mettent pas les enfants aux abris.Benoît du Barrois a écrit : ↑mar. 25 oct. 2022 23:41 Parfois, ils déforment, amplifient, sortent du contexte, bien sûr, mais d'autre fois, la réalité suffit.
Cette affaire sent une cabale anti-chasse amplifiée par les médias qui eux-mêmes naviguent sur le courant porteur : L’interdiction totale de la chasse.
D’abord le mercredi et le dimanche pour que tout le monde puisse se promener n’importe ou, puis la semaine parque cela fait du bruit et ainsi de suite.
Il s’avère que je connais bien cette région d’Amiens pour y avoir vécu quelques années et cette histoire, qui n’en est pas une, ne correspond en rien à la mentalité des autochtones…
Puis lorsque j’étais enfant j’ai vécu les mêmes situations dans la cour de mon école et nous ne regrettions qu’une chose, de ne pas être avec les chasseurs. Mais notre maître ne faisait pas de politique et les réseaux asociaux n’existait pas.
Ces mêmes journalistes ne sont que des suppositoires de la politique actuelle, ils font des procès médiatiques aux opposants de la dictature sous-jacente.