Ca fout la trouille
Re: Ca fout la trouille
Mon dieu
Surveille tes arrières maître goupil.....je pourrai être dans le coin
Re: Ca fout la trouille
Peut être que c'est du à un changement d'armement sans une sérieuse formation préalable.
- Philippe
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Re: Ca fout la trouille
Oui c'est sur et certain, les anciennes armes avaient des sécurité que les nouvelles n'ont pas, mais la formation en France ce n'est pas le point fort, longtemps justement les armes étaient sécurisées au maximum ce qui limite la formation.
Les méthodes de formation datent, et ne sont pas adaptées aux armes actuelles, ou du moins à un usage réel en dehors d'un stand de tir.
Re: Ca fout la trouille
Cela ne donne pas envie d'aller à l'Elysée...
Re: Ca fout la trouille
Vous avez pas vu le film RAID dingue
ben c'est exactement ça l'histoire .......ou quand on donne des armes à des Pierre Richard en puissance
ben c'est exactement ça l'histoire .......ou quand on donne des armes à des Pierre Richard en puissance
Re: Ca fout la trouille
Oh punaise !
On peut s'inquiéter de la place toujours croissante que prend l'intelligence artificielle dans notre vie quotidienne. Mais rassurons-nous, la connerie, elle, sera toujours authentique.
- Philippe
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Re: Ca fout la trouille
C'est vrai que quand on voit l'entrainement au tir, c'est pas gagné !
https://youtu.be/uKTVx-ZEKR8
https://youtu.be/xF9xHdqAH20
La formation est minimale, statique et non dynamique, je veux bien que ce soit des recrues en formation mais quand même, il y a d'autres méthodes mais ça a un prix !
Un ami me racontait un jour, un "incident" arrivé avec un policier équipé d'un revolver, qui après avoir rechargé son arme, en pleine action, était en train de ramasser les étuis sur le sol comme à l'entrainement, totalement formaté par sa formation, son réflexe était tellement ancré que même dans le feu de l'action c'était comme au stand, hors dans le feu de l'action les réflexes qui doivent sortir doivent êtres adaptés pas nuisibles.
Le tir au jugé toujours enseigné depuis des lustres est une particularité Française héritée de la MAT 49, mais techniquement parlant c'est totalement dépassé et inefficace mais bon c'est comme ça....
Dans les années 80 je passais pour un dingue au stand de tir, un cowboy, 20 ans plus tard ce que j'utilisais comme méthode a fini par être adopté et enseigné.
Je me souviens un jour d'une séance, ou tirant au pistolet à deux mains de manière rapide, un officier présent qui avait du être sorti de la naphtaline après un stockage dans les années 20 pour servir de réserve, me dit : Mais vous êtes fou, vous n'êtes pas dans un film, vous gaspillez vos cartouches....
Et là il me fait une démonstration de la position "réglementaire", de profil, bras tendu main gauche glissée dans le dos à la ceinture, la position de duel utilisée avec le revolver 1892.
Nous avons alors décidés de faire un tir de comparaison sur dix cartouches. J'avais fini qu'il finissait le premier chargeur, avant d'aller à la cible, il me regarde avec un sourire "à mon avis si vous avez touché la cible ce sera un miracle".
Au résultat : ses dix balles dans la silhouette (c'est grand) les miennes 5 poitrines 5 têtes en double taps.
Il est parti en grognant.
Quand je formais mes appelés en quelques séances j'en faisait des tireurs honnêtes, partant du principe que s'il avait une arme et qu'ils étaient avec moi je préférais qu'il sachent s'en servir (c'est plus sur), certain n'avaient jamais tiré de leur vie et d'autres avaient même peur des armes. A la fin il savaient faire une transition de l'arme longue au pistolet tout en étant dynamique et je restais dans les limites budgétaires imposées et avec autant de munitions que les autres, comme quoi c'est possible. Le secret c'était une préparation avant.
https://youtu.be/uKTVx-ZEKR8
https://youtu.be/xF9xHdqAH20
La formation est minimale, statique et non dynamique, je veux bien que ce soit des recrues en formation mais quand même, il y a d'autres méthodes mais ça a un prix !
Un ami me racontait un jour, un "incident" arrivé avec un policier équipé d'un revolver, qui après avoir rechargé son arme, en pleine action, était en train de ramasser les étuis sur le sol comme à l'entrainement, totalement formaté par sa formation, son réflexe était tellement ancré que même dans le feu de l'action c'était comme au stand, hors dans le feu de l'action les réflexes qui doivent sortir doivent êtres adaptés pas nuisibles.
Le tir au jugé toujours enseigné depuis des lustres est une particularité Française héritée de la MAT 49, mais techniquement parlant c'est totalement dépassé et inefficace mais bon c'est comme ça....
Dans les années 80 je passais pour un dingue au stand de tir, un cowboy, 20 ans plus tard ce que j'utilisais comme méthode a fini par être adopté et enseigné.
Je me souviens un jour d'une séance, ou tirant au pistolet à deux mains de manière rapide, un officier présent qui avait du être sorti de la naphtaline après un stockage dans les années 20 pour servir de réserve, me dit : Mais vous êtes fou, vous n'êtes pas dans un film, vous gaspillez vos cartouches....
Et là il me fait une démonstration de la position "réglementaire", de profil, bras tendu main gauche glissée dans le dos à la ceinture, la position de duel utilisée avec le revolver 1892.
Nous avons alors décidés de faire un tir de comparaison sur dix cartouches. J'avais fini qu'il finissait le premier chargeur, avant d'aller à la cible, il me regarde avec un sourire "à mon avis si vous avez touché la cible ce sera un miracle".
Au résultat : ses dix balles dans la silhouette (c'est grand) les miennes 5 poitrines 5 têtes en double taps.
Il est parti en grognant.
Quand je formais mes appelés en quelques séances j'en faisait des tireurs honnêtes, partant du principe que s'il avait une arme et qu'ils étaient avec moi je préférais qu'il sachent s'en servir (c'est plus sur), certain n'avaient jamais tiré de leur vie et d'autres avaient même peur des armes. A la fin il savaient faire une transition de l'arme longue au pistolet tout en étant dynamique et je restais dans les limites budgétaires imposées et avec autant de munitions que les autres, comme quoi c'est possible. Le secret c'était une préparation avant.